Une voix féminine se fit entendre derrière les garçons.
La dame : Bill, Tom. Que faites vous ? Rentrez vous allez encore vous faire repérer.
Les garçons se retournèrent donc pour répondre à la dame.
Tom : Non, c’est bon, ne t’inquiètes pas, elles ne nous connaissent pas.
L’efféminé : On fait connaissance avec notre voisine maman.
La dame se rapprocha donc.
La dame : Norah ? Vous habitez dans le quartier ?
Tom : Maman tu la connais ?
Moi : oui, nous nous sommes rencontrés hier.
Mme Kaulitz : Oui. Elle est venue postuler pour replacer Katharina.
L’efféminé : Ha d’accord.
Elle a dit, ce que je ne voulais pas qu’elle dise… Que j’allais être employée ici… J’avais la mine décomposée lorsqu’elle a dit cela. Heureusement Zia l’a vu et a fait « diversion »…
Zia : Bon, je crois qu’on va vous laissez. On a cours demain alors, on va aller réviser un peu !!
Je ne bougeais plus… je restais tétanisée…
Zia : Norah, tu viens ?!
Elle me secoua mais comme je ne réagissais pas, elle me prit par la main et nous partîmes…
Une fois arrivé dans la chose qui me sert d’appart, Zia s’asseya à mes côtés sur le clic-clac.
Zia : Norah ? Qu’est-ce qui t’es arrivée ?
Moi : Je sais pas… J’ai fait un blocage…
Zia : Un blocage ? Mais par rapport à quoi ?
Moi : Sur eux… Les avoir vu ensemble… avec leur mère…
Zia : Ha je vois… Elle te manque dis ?
Elle me prit dans ses bars et je fondis en larme pour la première fois devant quelqu’un. Je ne me sentais pas bien, je me leva donc, d’un coup et partit me renfermer dans le coin qui me sert de salle de bain. Zia me laissa seule un moment. Je l’entendais recasser à côté.
Zia : Norah, j’ai fais à mangé. Tu viens… ?
Je ne répondis pas. Je n’en avais pas la force. Je l’entendis se rapprocher. Elle vint s’asseoir à mes côtés. Elle ne disait rien. Elle jouait avec les lacets de ses chaussures.
Moi : Jamais, j’avais ressentis se vide en moi. Jamais en voyant une famille je me suis sentis mal. J’avais tellement l’habitude de me débrouiller toute seule. Mais là, les voir les deux jumeaux avec leur mère. J’ai ressentis comme un gros vide en moi. Et pas seulement un manque maternelle…
Je jetai un coup d’oeil à Zia. Elle tourna la tête et me regarda. Elle me sourit.
Zia : Tu parles d’un manque fraternel ?
Je fis un hochement de tête.
Moi : J’me sens si vide tout d’un coup. Jamais je ne mettais posé la question. Jamais je n’avais pensé à une chose pareille. Jamais je ne me sentais aussi seule en voyant une famille réunie.
Zia : Je comprends.
Moi : Le seul problème c’est que jamais je ne serais…
Zia resta un moment silencieuse.
Zia : Tu sais, tu ne trouveras peut-être pas de frères ou sœurs qui est vraiment un lien familial avec toi. Mais, saches que moi, je serais là pour toi quoiqu’il arrive.
Je la regarda elle versa une larme, je la rejoinds quelques secondes plus tard. Et nous nous enlaçâmes.
[Ellipse du soir et de la nuit]Le lendemain : Zia a dormi à l’appart avec moi. Le lendemain, nous n’avions pas cours. Moi, je devais aller travailler toute la matinée chez les Kaulitz.
Je suis sur le chemin de leur maison. Zia est rentrée chez elle pour s’occuper de sa mère.
[…]11ho7
Mme Kaulitz : Norah ? Où es-tu ?
Moi : Dans le bureau Madame Kaulitz.
Mme Kaulitz : Ha ! Tu peux faire une pose si tu veux. Tu veux venir boire quelque chose ?
Moi : Oui, pourquoi pas.
Je fis donc une pose. J’étais dans la cuisine avec Madame Kaulitz. Nous prenions un thé lorsque l’un des jumeaux descendit.
Mme Kaulitz : Tom ! Voyons, va me mettre une tenue plus correcte ! Tu n’es pas tout seul ici.
Je le vis pointer le bout du nez dans la cuisine et quand il me vit, il fit un grand sourire. Je le regarda et lui sourie à mon tour.
Tom : Ca va ! Je reviens !!
Madame Kaulitz me regarda et souffla !
Moi : J’ai terminé le bureau. Vous vouliez que je fasse d’autres pièces pour ce matin ?
Mme Kaulitz : Hé bien, j’aurais aimé que tu fasses les chambres mais comme les garçons ne sont pas très organisés tu risque d’être perdu à travers les vêtements ! Donc, tu les feras un autre jour. Si tu veux, tu peux y aller.
Moi : Très bien, comme vous voudrez ! Alors à demain Madame Kaulitz.
Mme Kaulitz : A demain Norah. Et, tu pourra resté manger avec nous demain midi si tu veux.
Moi : Euh… oui, enfin, je verrais !
Je sortis donc de chez eux. Ne me dirigeant vers le portillon, j’entendis quelqu’un m’appeler…
… : Norah ! Norah !
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Foilàààààààààààà encore désolée pour le retard
J'espère que ça vous plait toujours autant?!