ça fait longtemps que je l'avais commençais... et je viens de le finir!!!
je trouve bizarre l'histoire.
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Salut Gustav!!
ça va? Et oui encore une lettre pour t'embêter, je sais pas si tu les lis d'ailleurs mais même si tu ne le fait pas j'aime t'écrire, cela me soulage.
Je ne sais pas si un jour dans une lettre je l'ai dit, mais je suis malade et il me reste plus vraiment beaucoup de temps, le jour ou tu recevra plus ces lettres cela voudra dire que je ne suis plus de ce monde...
Voilà tu sais, ici à l'hôpital on s'amuse bien, je suis une des femmes( oui je me considéré comme une femme malgré mes 19 ans parce que c'est vrai cette maladie m'as fait murir) qui fait la joie des enfants, je joue avec eux dans le petit parc derrière le centre des hospitalisations.
J'aimerais tellement te rencontrer avant que je ne parte.
Malgré tout ce qu'il m'arrive, j'assume, c'est rare des personnes dans mon cas, qui assume leur maladie, même si ils savent qu'ils vont mourir, je me sens bien.
Bon je te réécrit demain, si mes mains veulent encore tenir le stylo ce qui j'espère continuera longtemps.
Amicalement, Sabrina.
Je relis cette lettre, oui, je les ai toutes lus, toutes jusqu'à aujourd'hui, je n'en ai pas eu.
Je m'inquiète, cette fille, je veut la rencontrer, on m'en empêche, mais demain je suis en vacances, j'irai la voir, peu m'importe où son hôpital se trouve.
Les vacances enfin.
Je me souviens de cette lettre qui disait qu'elle était à Francfort-sur-le-main, et qu'elle aimerait vivre a Hambourg, elle disait que c'était une jolie ville, elle a raison la vue de nuit de la colline au nord est magnifique, j'y allais quand j'avais envie d'être seul.
J'arrive à l'hôpital.
Je suis dans un jardin devant, je passe derrière, je vois une femme qui joue avec des enfants, pas loin se trouve un médecin.
Je vais le voir, la jeune fille joue toujours avec les enfants apparemment ils sont tous malades.
-bonjour vous êtes médecin?
-oui, pourquoi que puis-je pour vous.
-je voulais que vous me parliez d'une jeune fille qui est morte ici environ il y a deux jours.
-oui, tous sauf ce que je dois garder, le secret professionnel m'oblige à ne divulguer aucun secret médical.
-je voulais en apprendre plus sur ******* Sabrina.
-mais elle n'est pas morte, c'est elle.
Je me dirige donc vers la jeune fille, qui jusqu'à présent ne m'avez pas remarquer.
-bonjour Sabrina.
Elle se retourne brusquement et me regarde dans les yeux.
-Gustav....
-oui... je croyais que tu étais morte, je ne recevait plus de lettre, je m'inquiétais.
-désolé, je n'arrive plus à écrire, je n'ai plus de quoi écrire.
-allons nous asseoir.
Nous sommes assis sur un banc a côté d'un arbre.
-Je connais quelqu'un qui aurait aimer de te rencontrer
-Ha bon?
-Viens je vais te la présenter.
Elle m'emmène à l'intérieur, on marche vers une destination inconnue.
-Voilà c'est là.
Nous sommes devant la porte. Elle l'ouvre et s'approche du lit.
-Elle s'appelle Nolwenn c'est ma meilleure amie enfin celle qui me reste.
- Que lui est-il arrivée et pourquoi tu dis celle qui te reste?
-Je dis que c'est la seule qui reste parce que Stéphanie l'autre et partie avec les anges. On a eu un accident, elle m'as sauvée, c'est moi qui aurait dû être à sa place.
- Sa veut dire que tu m'as menti tu n'es pas malade?
- Je suis désolée.
On avait discuter, de tout et de rien, j'étais assis sur le lit près de Nolwenn, je lui tenais la main et regardais son visage angélique.
-Je voulais te demander dans deux jours c'est son anniversaire et je voulais savoir si tu pouvais organiser un p'tit truc pour elle?
- Ouais bien sûr.
- Merci
- De rien, je peut bien faire ça non?
- Je ne saurai comment te remercier.
Il est tard, sa fait bien une heure que je n'ai pas vu Sabrina, je crois qu'elle est sortit.
Je suis dehors, je la cherche.
-Sabrina?
-Je suis là.
-Où?
-Au dessus!
-Mais tu es folle tu vas te faire mal descends de cet arbre.
-Non, c'est le seul endroit où je peux admirer les étoiles, on les voit mieux d'en haut.
-Ah ouais?
-Ouais viens monte!
Je monte dans l'arbre, je manque de tomber a mi chemin de la branche où se trouve Sabrina.
-Tu avais raison, c'est magnifique.
- Sache que j'ai toujours raison!!
- Tu ne serais pas un peu modeste?
- Non, pourquoi?
- Je rigoles!!
Je la regarde dans les yeux, je n'avais pas remarquer comme ses yeux ont la couleur de l'océan, et avec le clair de lune c'est encore plus magnifique!
Il est 8h31, je me réveille dans ce lit, que le médecin m'as préparer, dans la chambre voisine de Sabrina et Nolwenn.
Je me lève et rentre après avoir frapper à la porte des filles.
-bonjour Sabrina bonjour Nolwenn!
-bonjour Gustav,ça va ?
-ça va et toi?
-oui.
- rien de nouveau pour Nolwenn?
- non, enfin je continue d'espérer.
Je prépare la scène pour le p'tit show pour l'anniversaire de Nolwenn, sa fait presque une semaine que je suis ici.
Je suis maintenant sur scène, beaucoup plus de gens sont là, beaucoup plus que ce que j'avais imaginé.
Nolwenn est dans un fauteuil roulant, face à la scène, Sabrina est à côté, je suis à la batterie, je fait 1h de solo, je me défoule un peu aussi.
On es de retour dans la chambre de Nolwenn, demain je repars, je voulais passer un peu de temps avec elles.
Le lendemain, je me promène un peu dehors, quand je vois le docteur de la dernière fois, je me dirige vers lui quand tout à coup, je vois une petite fille courir vers lui.
-Docteur!!!Docteur!!!
-Que se passe-t-il Makino?
-C'est Sabrina!!Et nolwenn!! Venez!!
Je les suit.
Nolwenn se tient debout, elle marche, elle guérit, je n'y croyait pas.
Ils sont devant un lit, je ne vois pas qui y est allongé, je m'approche, j'entends des sanglots, c'est Nolwenn qui pleure, je n'y crois pas... non... Sabrina... c'est elle dans le lit, son nez saigne.
-Sabrina!!!
-Calmez vous Gustav!
-Que t'arrive-t-il?
Tous le monde s'éloigne pour nous laissez parler.
-Gustav...
J'avais du mal à comprendre ses paroles, elle portait un masque respiratoire, je lui prends la main.
-Sabrina..
-Gustav... Je ne t'avais pas menti...Je suis malade...
-Pourquoi tu ne me l'as pas dit?
-Je pensais pas que tu allais venir et puis j'ai eu une semaine à vivre en plus, mais je n'étais plus capable de tenir un stylo.. je suis vraiment désolée.
-Ne le sois pas.
-Pardonne moi.
-Tu es pardonnée.
Elle ferme les yeux, sa main se déserre de la mienne.
Je ne comprends pas...Pourquoi maintenant... Pourquoi elle ne m'avait pas mentie? Il a fallu qu'elle meurt pour que je ressente que je l'aimais beaucoup.